Qui suis-je ?

Qui se cache derrière « tales in details » ?

Je suis Stéphanie, française mais surtout auvergnate (!) et expatriée à Bruxelles depuis 2015 (le temps file) ! Du coup, je suis devenue « belgovergnate » comme j’aime le dire, « la plus belge des françaises » selon Lorenzo, mon compagnon. Mon compagnon de route, de voyages, de vie… !

Du fond de ma campagne natale, j’ai pu goûter aux voyages grâce à mes parents. Notre premier voyage outre-atlantique en 2007 au Canada : une révélation. Avec mes études, et surtout depuis mon Erasmus en 2012, je n’ai jamais vraiment arrêté… et dois avoir ma dose mensuelle de découvertes et de nouveautés !

Pourquoi « tales in details » ?

Dans notre monde, tout va vite : tout s’enchaîne, chaque acte ou décision entraîne des conséquences, qui elles-mêmes mènent vers de nouvelles conséquences… Spirale (infernale je ne sais pas, mais spirale quand même).

J’ai juste le souhait de me poser, d’observer, de décrypter, de voir ce qu’il y a à voir là où personne ne pose le regard. La photographie m’a amenée à cela. Attention, je n’ai pas la prétention d’être une grande photographe, je balbutie toujours entre mode automatique ou manuel… Non. Mais je cherche juste à capter ce que chaque détail d’une vue grand angle a à nous raconter. Et bien souvent… la magie opère et mon imagination se met en marche.

Je ne sais pas à ce stade si ce blog sera le reflet de ma philosophie du détail, mais dans les articles, je vais en tout cas m’y attacher.

Pourquoi ce blog ?

J’aime l’idée de ne pas laisser au fond d’un tiroir (numérique) ce qui m’a fait rêver et vivre – avant, pendant et après mon voyage.

J’aime l’idée de partager mes itinéraires concoctés avec autant de minutie que de plaisir et de petits papillons dans le ventre.

J’aime l’idée d’aider ceux qui ne sont pas forcément à l’aise de partir en mode « backpack » à franchir le pas, ou tout simplement aider ceux qui voudraient affiner leur itinéraire déjà bien précis.

J’aime l’idée de faire vivre encore, toujours un peu plus, mes histoires, mes anecdotes, mes rencontres, mes – désormais – souvenirs.

Et je dois dire… le voyage, l’écriture, faire revivre des moments oubliés – voyager dans le temps en quelque sorte – est un peu ma thérapie. J’ai perdu mon père l’été passé, et sa perte me fera garder à l’esprit au moins une chose, à vie : l’importance de faire vivre nos propres souvenirs, de garder une trace de toutes les belles choses qui nous arrivent. Un Souvenir – un moment vécu pleinement – prend encore plus de valeur lorsqu’on sait qu’on ne pourra plus, un jour, le faire revivre, ou s’en créer de nouveaux. Alors, tâchons de profiter.